lunedì 28 aprile 2014

Asilo in Europa and Asgi launch a research on the new “temporary” reception facilities for asylum seekers in Italy

                                                       
                                                           



Since the beginning of 2014, to respond to the high influx of boat people rescued by the Italian navy and disembarked on the Italian shores, the Minister of Interior asked all Prefectures to identify reception facilities in their territories, in line with the plan prepared by the Ministry.

These facilities are not within the regular reception systems for asylum seekers (SPRAR and CARA), and their location, their characteristics, and management have not been made public yet. From the preliminary information we have, however, it looks clear that a great number of municipalities is involved, with great differences among the facilities chosen and the companies identified for managing these centres.

For this reason, Asilo in Europa and ASGI consider relevant the launch of a research, completely self-financed, which looks at those reception facilities (variously labelled as temporary, emergency, provisional) for asylum seekers, which have been opened in 2013 and 2014.


giovedì 24 aprile 2014

La politica dell'Unione europea in materia di rimpatri. Comunicazione della Commissione europea

La Direttiva 2008/115/CE, c.d. “Direttiva rimpatri”, ampiamente criticata e nettamente rifiutata da ampi settori della società civile e accademici al tempo della sua adozione, ha da poco compiuto cinque anni.  
Ora la Commissione europea ci fornisce la possibilità di analizzare l'impatto che tale direttiva ha avuto all'interno degli Stati membri grazie ad una relazione relativa alla politica dell'Unione europea in materia di rimpatri, di cui la Direttiva del 2008 costituisce il “pezzo” più consistente. 

Analizzeremo questa relazione, presentata sotto forma di Comunicazione della Commissione “sulla politica UE in materia di rimpatri”, nelle righe che seguono.




venerdì 18 aprile 2014

Spostarsi in Svezia per lavoro. Come fare? - Asylum Lottery




Il fenomeno dei titolari di protezione internazionale che si spostano dall'Italia verso altri Paesi europei, pur non essendo nuovo, è diventato particolarmente evidente negli ultimi anni. 
Si tratta di un fenomeno che ha molte sfaccettature, molteplici essendo i motivi che possono spingere a lasciare l'Italia fra cui la mancanza di lavoro, la carenza di soluzioni abitative dignitose una volta usciti da un progetto di accoglienza, la presenza in altri Paesi di parenti, amici o connazionali in grado di offrire un supporto. 
Inoltre, molto spesso il sogno che spinge verso il Nord è legato all'immaginario alimentato all'interno delle comunità migranti che dipinge questi Paesi come luoghi dove sia decisamente più facile ottenere mezzi di sostentamento e  ricostruirsi una vita.
Quali che siano i motivi alla base della decisione di partire, quello che è certo è che tali desideri si scontrano spesso con la dura realtà delle regole europee e nazionali che, di fatto, lo rendono molto complicato.

Ma qual è la reale possibilità per coloro che  si spostano in un altro Paese di farcela, di regolarizzare cioè la propria posizione? 

Dopo aver pubblicato negli scorsi mesi alcuni interventi di operatori di progetti SPRAR che ci hanno testimoniato l'attualità e le dimensioni del fenomeno, cominciamo oggi a pubblicare una serie di contributi relativi ai Paesi di destinazione (spesso solo sognata) dei titolari di protezione che decidono di abbandonare l'Italia

Analizziamo ad esempio il caso svedese.

giovedì 17 aprile 2014

Asilo in Europa e Asgi lanciano una ricerca sulle strutture di accoglienza













A partire dall'inizio del 2014,  per far fronte all’afflusso di cittadini stranieri sbarcati sulle coste italiane, il Ministero dell'Interno ha  richiesto alle Prefetture di reperire sui rispettivi territori di competenza strutture di accoglienza, secondo il “piano di assegnazione” degli stranieri predisposto dallo stesso Ministero.

Queste strutture, tuttavia, non fanno parte né della rete SPRAR né dei CARA e la loro ubicazione, le loro caratteristiche, la loro gestione non sono al momento pubblicamente note. Dai primi riscontri di cui siamo in possesso, appare evidente tuttavia che siano moltissimi i Comuni coinvolti, così come estremamente variegate appaiono le strutture scelte e gli enti individuati per la gestione delle stesse. 


martedì 8 aprile 2014

Il rapporto Eurostat su richiedenti asilo ed esiti delle domande nell'UE nel 2013


Eurostat ha pubblicato pochi giorni fa il suo rapporto sul numero di richiedenti asilo nell’Unione europea e sugli esiti delle domande esaminate dagli Stati Membri in prima istanza nel 2013

Come sempre, riportiamo qui principali dati che emergono dal rapporto e relativi tra le altre cose a Paesi di origine, Stati UE di destinazione, tassi di riconoscimento della protezione,.. 

Nelle ultime righe si può trovare un focus dedicato all'Italia.



lunedì 7 aprile 2014

Les arrivées par la mer, la nouvelle « urgence » italienne et la solidarité de l’UE La position de Asilo in Europa et ses recommandations


Les arrivées par la mer, la nouvelle « urgence » italienne et la solidarité de l’UE 
La position de Asilo in Europa et ses recommandations

Le nombre des personnes secourues grâce aux opérations de sauvetage en mer en 2014 en Italie est élevé mais pas inattendu. A la lumière de la situation aux portes de l’Europe, la crise syrienne et l’instabilité de nombreux pays de l’Afrique du Nord, il n’aurait pas été impossible de prévoir une augmentation des arrivées de migrants et demandeurs d’asile. Cela est confirmé par l’analyse des risques de Frontex pour le troisième trimestre (été 2013), selon laquelle le nombre d’arrivées par la mer était en train d’augmenter.
La réponse italienne à cette situation, certainement très complexe, des migrations irrégulières par voie maritime, a toujours été dispersée et contradictoire; en partie louable (si l’on prend en considération même le gros effort relatif aux opérations de sauvetage en mer) et partiellement critiquable (si l’on pense entre autre aux refoulements vers la Lybie), la réponse italienne a été généralement marquée par son injustifiable caractère d’urgence. L’Italie, en raison de sa position géographique et de sa proximité avec des zones très instables, et de la nature de ses frontières, est une destination naturelle (même si le plus souvent elle n’est qu’une étape temporaire) pour un nombre très élevé de personnes fuyant la violence et les persécutions, à la recherche de paix et de protection. Penser d’arrêter ces mouvements d'une intensitè historique par le biais de mesures législatives est tout simplement irréaliste.
A la suite des tragédies du mois d’octobre dernier, qui - il convient de le souligner-  ont été les plus visibles parmi beaucoup d’autres tragédies similaires au cours des années passées, l’Italie a déployé une opération militaire globale de sauvetage appelée Mare NostrumMare Nostrum a sauvé plus de 10.000 personnes en 2014 seulement. Nous avançons certainement des doutes et des critiques par rapport au caractère de transparence, à la participation d’organisations internationales et dans le cadre des opérations à bord de Mare Nostrum, sans parler de certaines pratiques complétement inacceptables au cors des opérations. Néanmoins elle représente une réponse significative et unique pour un pays comme l’Italie qui, jusqu’il y a très récemment, opérait des refoulements dans les eaux internationales en violation totale du droit international. La portée de cette réponse est d’autant plus significative si l’on prend en considération le contexte dans lequel elle a été mise en place : un contexte où des pays de l’UE ont répondu à la crise internationale et aux guerres en construisant des murs, en tirant des balles en caoutchouc et en restreignant les politiques de visa.
Asilo in Europa demande donc fortement que les opérations de sauvetage en mer continuent, même si nous assisterons très probablement à une augmentation du nombre d’arrivées dans les prochains mois.
Parallèlement, les institutions européennes et les Etats membres devraient montrer leur solidarité (non seulement d’un point de vue financier) et leur engagement dans la construction d’un régime d’asile européen commun effectif. Afin d’atteindre cet objectif, des mécanismes pour faciliter la mobilité intra-UE des bénéficiaires de protection internationale devraient être urgemment mis en place. L’UE pourrait par exemple mettre en œuvre des projets des réinstallation ou, encore mieux, élargir la liberté de mouvement à l’intérieur de la zone Schengen pour les bénéficiaires de la protection internationale. Il s'agit sûrement de l’objectif final.
La crise économique actuelle dans certains Etats membres, ainsi que les liens familiaux et communautaires que certains ont dans d’autres pays de l’UE, rendent complétement irréaliste l’idée que le bénéficiaires de la protection internationale restent en Italie, sans aucune perspective, au lieu de tenter leur chance dans d’autres pays de l’UE. Notre appel ne veut pas être une tentative de solliciter l’aide de Bruxelles,  dans le but de fuir les responsabilités et les obligations de l’Italie envers les réfugiés, même si cela a parfois été le cas dans le passé. Notre appel se veut une sollicitation pour changer les règles afin de les redéfinir et les rendre ainsi plus conformes à la réalité. Ce changement doit être opéré pour sauver la crédibilité et la durabilité du régime d’asile européen commun, et non pas pour « aider » l’Italie qui doit prendre ses responsabilités et respecter les règles.
En effet, malgré les efforts significatifs dans les actions de sauvetage en mer, la réponse en terme d’accueil de nombreuses personnes arrivées de si loin a toujours été marquée par un caractère contradictoire. En dépit de l’élargissement du SPRAR du 29 janvier 2014 et la création de places supplémentaires, que chaque projet SPRAR pourrait utiliser en cas de nécessité, la première action du Gouvernement a été de recourir à des solutions d’accueil et d’hébergement temporaires et improvisées, comme il avait déjà fait pendant les printemps arabe en 2011. Cela signifie que le Gouvernement souvent confie l’accueil et l’accompagnement des demandeurs d’asile à des acteurs qui n’ont pas, ou très peu, de lien avec la protection internationale (hotel, bed & breakfast,…). Cette situation entraîne le risque que le demandeurs d’asile restent sans accompagnement légal, psychologique, ou aide linguistique, affaiblissant par conséquence leur protection et mettant en péril leur intégration. De plus, il paraît que les places des projets SPRAR (les places disponibles et celles supplémentaires) n’ont pas encore été remplies.

Entièrement conscients de grandes difficultés qui caractérisent cette situation complexe, Asilo in Europa demande fortement que :

  • Le Gouvernement italien
-
- continue avec les opérations de sauvetage en mer, même si elles entraîneront probablement une augmentation des arrivées dans les prochains mois ;

- clarifie les règles d’engagement des soldats impliqués dans l’opération Mare Nostrum et donne des explications sur les circonstances de l’incident du 24 mars ;

- finance immédiatement les places SPRAR (disponibles et supplémentaires) déjà créèes le 29 janvier ;

-
- prépare, incluant les mairies et les institutions locales ainsi que les associations et d’autres acteurs, un plan national d’accueil effectif pour surmonter le caractère d’urgence dispendieux et inefficace qui a caractérisé jusqu’à aujourd’hui la réponse à un phénomène devenu désormais structurel.

  • Les institutions européennes
-
- prennent en considération urgemment les mécanismes pour faciliter la mobilité intra-UE des bénéficiaires de la protection internationale, dans le but de sauvegarder la crédibilité et la durabilité du régime d’asile européen commun, et d’améliorer les opportunités d’intégration des bénéficiaires de la protection internationale.

venerdì 4 aprile 2014

Sentenza della Corte di Giustizia UE nel caso Arslan (C-534/11) - Tutte le sentenze della Corte di Giustizia UE in materia di asilo analizzate da Asilo in Europa

Pubblichiamo oggi l'analisi di una seconda sentenza della Corte di Giustizia UE all'interno della nostra nuova iniziativa di approfondimento su tutte le decisioni dei giudici di Lussemburgo in materia di asilo.
Si tratta della sentenza Arslan (C-534/11) del 30 maggio 2013

Una sentenza che interpreta la cosiddetta Direttiva Rimpatri, cioè un atto legislativo che non fa parte del “pacchetto” di norme europee in materia di asilo. Tuttavia, è una sentenza molto rilevante ai nostri fini in quanto si occupa proprio della applicabilità o meno della Direttiva Rimpatri ai richiedenti asilo e del trattenimento dei richiedenti asilo




Oggi, come faremo sempre all'interno di questa rubrica, pubblichiamo sul blog, nelle righe che seguono, un breve riassunto della sentenza, rimandando al nostro sito per scaricare la scheda di analisi completa.


mercoledì 2 aprile 2014

Arrivals by sea, new Italian “emergency” and EU solidarity. Asilo in Europa's position and recommendations




Arrivals by sea, new Italian “emergency” and EU solidarity
Asilo in Europa's position and recommendations

The number of people rescued at sea by Italy in 2014 is high but not unexpected.
In light of the situation at Europe's doorstep, the Syrian crisis and the instability of many countries in North Africa, it would  have been far from impossible to foresee an increase of migrants' and asylum seekers' arrivals. This is confirmed by Frontex risk analysis on the third trimester, i.e. summer 2013, according to which the number of arrivals by sea was increasing.

The Italian response to the - doubtless complex - situation of irregular migration by sea , has always been scattered and contradictory; partially commendable (including the great effort in rescuing lives at sea) and partially not (thinking, inter alia, of the push-backs to Libya) but consistently characterised by an unjustifiable element of emergency
Italy, for its geographical position and closeness to very unstable areas, and for the nature of its borders, is a natural (if only often temporary) destination for a high number of people fleeing from violence and persecutions, searching peace and protection. Thinking of  stopping these movements of historical proportions with legislative acts is simply unrealistic.

In the aftermath of the tragedies of the past October – which, it is worth highlighting, were only the most visible of too many similar tragedies in the past years – Italy deployed a comprehensive military rescue operation called Mare Nostrum. Mare Nostrum rescued over ten thousand people in 2014 only.
We certainly retain some doubts and critics regarding the transparency, involvement of international organisations and on board operations of Mare Nostrum, let alone some absolutely unacceptable practices (see this shooting). However, this operation does represent a very significant response, and a very distinct one coming from a country like Italy, which up to a few years ago operated push backs in the high seas, in complete breach of international law. The significance of this response appears even more relevant when we look at the context in which it is taking place: a context where some EU countries are responding to international crisis and wars by building walls, shooting rubber bullets and cracking down visa policies.

Therefore, Asilo in Europa strongly underlines that operations of rescue at sea must continue, even though we will probably witness an increase in the number of arrivals in the coming months.

At the same time, EU Institutions and Member States should show their solidarity  (not only on a financial level) and their commitment to build a true Common European Asylum System. To reach that point, mechanisms to facilitate intra-EU movements of international protection beneficiaries shall urgently be found. The EU can get there by implementing relocation projects or, better, by broadening the freedom of movement within the Schengen area for beneficiaries of international protection. This remains the final goal.

The current economic crisis in some EU Member States, as well as the family and community links that some have in other EU countries, render completely unrealistic the idea that beneficiaries of international protection would remain in Italy, with no future perspective, instead of trying their luck in other EU countries. Our call is not an attempt at begging for Brussels' help, with the goal of getting away from the responsibilities and obligations Italy has towards refugees, although this has sometimes been the practice in the past. Our call is about changing the rules in order to shape them and make them fit to the current reality. And this should be done to save the credibility and sustainability of the Common European Asylum System, not to “help” Italy which must take its responsibilities and abide by the rules.

Indeed, despite Italy’s significant efforts in the field of rescue at sea, the response in terms of reception of the many people arrived so far portrays a contradictory picture. In spite of the SPRAR enlargement of the 29th of January 2014 and the creation of “additional places” which each SPRAR project should make available in case of necessity, the first Government action was to resort to temporary, extemporaneous, facilities, like it had done during the Arab spring in 2011. This means that the Government often entrusts the reception of asylum seekers to actors who have little, if anything, to do with international protection (e.g. bed & breakfasts,...). This clearly entails the risk that asylum seekers are left without any legal, psychological, or linguistic support thus endangering their protection and jeopardizing their integration. At the same time, it appears that the SPRAR places (regular and additional) have not been filled yet.


Well-aware of the great difficulties of the complex situation, Asilo in Europa strongly calls on:


  • The Italian Government
    • To continue the rescue at sea operations even if this will result in an increase of the arrivals in the next months;
    • To clarify the engagement rules of the soldiers involved in the Mare Nostrum operation and to explain the circumstances of the incident of the 24th March;
    • To immediately fund the SPRAR places (regular as well as additional) already approved on the 29th January;
    • To prepare, involving municipalities and local authorities as well as NGOs and other stakeholders, a credible national reception plan to overcome the expensive and ineffective emergency approach which has characterised until today the response to a phenomenon which is of a structural nature, and manageable.

  • The EU Institutions
    • To urgently consider mechanisms to facilitate intra-EU movements of international protection beneficiaries in order to save the credibility and the sustainability of the Common European Asylum System, and to improve the integration chances of beneficiaries of international protection.

martedì 1 aprile 2014

Tutte le sentenze della Corte di Giustizia UE in materia di asilo analizzate da Asilo in Europa - Sentenza Elgafaji (C-465/07)

Oggi avviamo una nuova attività di Asilo in Europa che siamo sicuri incontrerà l'interesse di molti lettori. 

Fin dagli esordi questo blog si è caratterizzato anche per offrire l'analisi delle sentenze con cui la Corte di Giustizia dell'Unione europea interpreta il diritto europeo in materia di asilo. 
Si tratta di un'attività che ci è sembrata da subito fondamentale, in quanto spesso la normativa europea - il cui testo è frutto di inevitabili compromessi - necessita di chiarimenti. Inoltre, le sentenze della Corte di Giustizia sono vincolanti per tutti coloro che saranno chiamati a interpretare quella stessa norma in futuro. Al di là del fatto che la controversia da cui trae origine una determinata sentenza della Corte sia sorta in uno Stato membro o in un altro, l'interpretazione dei giudici di Lussemburgo sarà valida per tutti.  

Ecco dunque l'estrema importanza di conoscere bene queste decisioni e di averle sempre “a portata di mano”.






Per questo, da oggi pubblicheremo, una alla volta, la nostra analisi di tutte le sentenze della Corte di Giustizia UE rilevanti in materia di asilo. Alcune di queste sentenze non sono mai state commentate su questo blog perché antecedenti alla sua nascita, altre sono già state commentate e in questo caso ripresenteremo le nostre analisi in una forma più approfondita e facilmente fruibile.

Per ogni sentenza offriremo infatti un commento breve per inquadrare la decisione e, per chi fosse interessato ad approfondire, l'analisi vera e propria (di poche pagine) in formato pdf, facilmente scaricabile e conservabile
Per una comodità di consultazione ancora maggiore, divideremo le sentenze a seconda dell'atto legislativo interpretato dalla Corte di Giustizia (Regolamento Dublino, Direttiva Qualifiche, etc...). 


Dove trovare le analisi delle sentenze?

Sul nostro sito: www.asiloineuropa.it che vi presentiamo oggi per la prima volta e vi invitiamo a consultare anche per conoscere meglio l'associazione e le attività che sta portando avanti. 
La pagina dedicata alle sentenze della Corte di Giustizia è questa.
Come vedrete, per ora la pagina contiene solo l'elenco delle sentenze, divise per argomento, e l'analisi della prima sentenza, di cui ci occupiamo oggi.

Si tratta di una decisione che non avevamo avuto occasione di commentare su questo blog, in quanto antecedente alla sua nascita: il caso Elgafaji (C-465/07), probabilmente uno dei più importanti, conosciuti e citati anche nelle decisioni dei giudici italiani. 

Nelle righe che seguono presentiamo il “commento breve”, rimandando al nostro sito per scaricare il pdf con l'intera analisi.

Nelle prossime settimane ci occuperemo di tutte le altre sentenze, una alla volta, continuando a pubblicare su questo blog i commenti brevi e a rimandare al sito per l'analisi completa. E naturalmente, mano a mano che usciranno nuove sentenze della Corte, le commenteremo.
Per ritrovare facilmente il commento e l'analisi di una sentenza della Corte di Giustizia in materia di asilo sarà dunque d'ora in poi sufficiente andare sul sito di Asilo in Europa, in particolare a questa pagina, e cercare la sentenza di proprio interesse.

Come sempre, ci fa molto piacere ricevere commenti e riscontri e dunque vi chiediamo di mettervi in contatto con noi per farci avere le vostre impressioni.

Buona lettura (qui e sul sito)!